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Prisonnier stalag XII D à Trèves - Kommando 500

Vous souhaitez connaître l'histoire d'un régiment, vous ne connaissez pas les spécificités des archives militaires, vous souhaitez évoquer la vie de vos ancêtres en temps de guerre ? Ce forum est là pour vous aider !
pbourez
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Tarkastele heidän sukupuutaan.
Bonjour,
Mon père, Louis Edmond Pierre BOUREZ, a été fait prisonnier à la bataille de Charmes dans les Vosges, le 22 juin 1940. Il a ensuite été emprisonné au stalag XII D à Trèves jusqu'au 30.08.1942, date de son évasion avec un compagnon.
Il faisait partie du Kommando Bitburg (Eifel) n° 500, et son numéro de prisonnier était le 9468. Il travaillait alors dans une ferme.
Le nom de mon père n'est pas répertorié dans les listes de prisonniers.
Quelqu'un sait-il pourquoi certains prisonniers ne sont pas mentionnés sur ces listes ?
Quelqu'un a t il des informations sur ce Kommando 500 de Trèves ?
Mon père m'a raconté qu'il devait porter "une culotte rouge", avez-vous eu cela dans vos parents ?
Je vois dans les échanges sur le forum qu'en écrivant au Service de la Défense à Caen on peut obtenir des informations sur les prisonniers. Que trouve-t-on précisément dans leur document ? car apparemment pour l'instant ils ont suspendu le traitement des demandes...
Beaucoup de questions, alors merci d'avance pour vos précieux renseignements
Cordialement
Philippe
jibehem66
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Pour le pantalon rouge, il me semble me rappeler que certains régiments des troupes coloniales (zouaves,...) avaient des pantalons rouges, d'autres membres seront plus expert dans ce domaine.

La raison pour laquelle je songe a un uniforme de troupe coloniale, c'est qu'Adolf Welter dans ces publications sur le Stalag XIID cite plusieurs témoignages (voir mon autre fil sur le Stalag XII D et extrait joint) que les prisonniers qui avaient tenté en vain (rattrapés) de s'évader, devaient porter une fois ramenés dans le Stalag des uniformes de zouaves.
La raison en été multiple:
- les PG de troupes coloniales avaient été renvoyés dans la Gironde assez tôt (fin 1940), et donc un PG avec un uniforme exotique se remarquaient a Trêves a des km, plus facile de garder un oeuil sur les pG récalcitrants.
- c’était considéré comme humiliant par les soldats des troupes non coloniales (préjugés de l'époque...)

Les listes de PG publiés en 1940 ne sont pas complètes, elles étaient basés sur les infos que les autorités allemandes passaient chaque semaine aux autorités françaises, et la situation initiales après juin 1940 était assez chaotique; je le sait de façon certaine car le PG français qui travaillait dans la ferme de mon AGP ici dans la Eifel n’apparaît nulle part sur ces listes.

Les divers listes de commandos de travail (5eme bureau, Welter,...) sont toutes très incomplètes, j'estime qu'environ 10-15% des 1200 AK sont répertoriés seulement.
Je ne connais pas l'AK 500 , mais je m'occupe du sujet uniquement depuis 18mois.

J'habite dans le district de Bitburg (20 km) , a l'occasion je peux chercher aux archives de la ville ou du district, mais pas tout de suite.

Avez vous quelques enveloppes de courrier de PG de votre parent (recto verso) ? parfois on peux y lire des indications plus precises.
Liitteet
page102_Evasion_UniformesZouaves.pdf
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pbourez
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Bonjour,
Merci pour ces précisions.J'ai commencé la lecture de la traduction du livre de Mr Welter (très enrichissant), merci pour ce travail et ce partage.
Pour le pantalon rouge, mon père était effectivement un "récalcitrant" (ci-joint photo de lui à la ferme).
Je vous joins deux documents : une lettre et une carte transmises à ses parents au cours de l'année 1942.
Merci pour votre proposition d'aide. Si effectivement vous avez la possibilité de faire des recherches, je vous en serai très reconnaissant.
J'ai le récit de l'évasion de mon père qui lui a permis d'avoir la médaille des évadés au début des années 50. Par contre je n'ai pas d'information ou peu durant sa captivité en Allemagne. Je suis en train de rédiger un récit depuis son incorporation en 1939 jusqu'à ses activités durant la guerre à Paris en 1945. Ce récit sera destiné à mes enfants et petits enfants.
Bien cordialement
Philippe
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Louis Bourez Stalag XII D Bitburg Linderhof n°9468.jpg
Louis BOUREZ - Carte à ses parents - 23 août 1942.jpg
Louis BOUREZ - Lettre à ses parents - 4 janvier 1942.pdf
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Viestit: 46
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Ci-joint en complément une photo de mon père en compagnie d'autres prisonniers et probablement un jeune allemand à la ferme du AK 500.
Bien cordialement
Philippe
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Louis BOUREZ - prisonnier et des compagnons probablement à la ferme.jpg
jibehem66
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Rebonjour;
Je viens seulement de me rendre compte que la lettre de PG indiquait explicitement le lieu de l'AK (Lindenhof). En général le lieu indiqué sur les adresses d'AK était plutôt le lieu ou les PG étaient hébergés/gardés pour la nuit, plutôt que le lieu ou ils travaillaient.

Lindenhof c'est un nom de lieu (= "Ferme des tilleuls"...) assez courant en Allemagne, mais il n'y en a pas tant que cela dans la région de Bitburg.

Cela permettra de restreindre le champ de recherche.
Retrouver le bâtiment nommé Lindenhof dans Bitburg ou ces parages pour la période 1940-1945 devrait être possible, en particulier aux archives du canton (Kreis) de Bitburg.

Une première recherche rapide donne 2 possibilité, qui ne sont pas forcement les bonnes comme la ville et ces alentours ont etes lourdement bombardes (en particulier au Noel 1944):

- l'écurie Lindenhof a Stockem, 15km a l'ouest de Bitburg voir page FB https://www.facebook.com/FamilieKranzKonder/

- l'auberge Lindenhof a la périphérie de Bitburg (intersection de Saarstrasse et Weiherstrasse); l'article joint ce plaint de sa démolition en 2006 pour faire place a un projet immobilier, voir foto du bâtiment sur la dernière page ;

Aucune certitude si c'est l'un ou l'autre mais pour dire que cela ouvre des pistes.
Liitteet
Lindenhof _ Architektur in Bitburg - bitarchitektur.blog.volksfreund.de.pdf
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peault85
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Viestit: 31
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Bonjour,
Merci Jean Bruno pour vos recherches.
Je viens de relire le début du récit de mon papa et de consulter la carte "volée à son patron" et qui lui a servie pour son évasion.
Il semble qu'ils aient fait leur première étape pour attendre la nuit, à côté d'un village "Hungerburg" et qu'ils n'avaient fait alors qu'environ 7 kms. Je vous joins une partie de la carte que j'ai scannée. J'ai fait un trait vert pour vous indiquer les croix qu'il a tracé. Il semble que la ferme (première croix sur la partie droite) serait située dans l'anse de la NIMS, enfin probablement... Stockem n'est pas la bonne piste puisque c'était sur leur chemin d'évasion. Pour l'autre je ne sais pas, ce peut-il que se soit là qu'ils étaient logés ? Je sais qu'il ne logeait pas à la ferme puisqu'il indique avoir dit adieu à ses copains à Bitburg le matin avant de se rendre à la ferme d'où il s'est évadé.

D'autre part, dans ses affaires, j'ai retrouvé un "WARTBURG DRGM", qui serait donc un boitier de protection de montre de poche des militaires allemands. Dans ce boitier il y a un tout petit bout de papier avec un nom "ALOÏS WEYDERT" d'un côté et de l'autre "Fils (ou Fels) La Rochatte". Je me demande si cela pourrait être le nom d'un militaire allemand ou du luxembourg...

Merci encore pour votre aide.
Bien cordialement
Philippe

(désolé, erreur d'identifiant entre mon épouse et moi, comme je ne sais pas si le fait de supprimer, supprime tout depuis le début je laisse en l'état)
Liitteet
Début parcours d'évasion août 1942.zip
fichier zippé
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jibehem66
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Viestit: 311
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l'AK500 est donc peut être l'auberge Lindenhof a Bitburg, au croisement des Saarstrasse et Güterstrasse (et non pas Weiherstrasse comme je l'indiquais précédemment), voir le point que j'ai rajouté sur la carte de la route d’évasion.
D’après un article du Trierischer Volksfreund de Mars 2006, l'auberge du Lindenhof avait été construite en 1922 par Wilhelm Conrady, donc elle existait bien pendant la guerre.

Peut être que la ferme ou il travaillait était a proximité immédiate de la première croix si c'est son point de départ.
Puis le parcours passe a travers champs et forets prés de la Backesmühle, puis la Hühnerburg (sur les cartes modernes c'est nommé Hungerburg).

"Fils (ou Fels) La Rochatte" me fait penser a "Fels Larochette" un petit village au Luxembourg a 35 km au SO de Bitburg.
Il y habite un Weydert:
Weydert Victor Assurances 46 Rue De Medernach L-7619 Larochette Tel 83 71 18

ALOÏS WEYDERT était peut être un ascendant et le contact de votre père fourni par le réseau d’évasion.
Liitteet
Bitburg-Lindenhof-Backesmuehle-Huehnerburg.pdf
(2.73 MiB) Tiedosto ladattu 10 kertaa
jibehem66
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Viestit: 311
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Ce matin je suis allé faire un tour dans dans la zone Bitburg-Hungerburg (voir le OSM_Bitburg_SO2.pdf joint avec les points de repères 1 a 6; belle randonnee, la premiere que j'allais dans ce coin.

1 a 3 sont les repères reportées sur une carte moderne de OpenStreetMap que votre père avait inscrit sur sa vielle carte.
1 = en plein champ, voir les 2 photos prises depuis le chemin avec vue vers Ouest
2 = Backesmuehle, voir photo vue vers l'est; la ligne de la colline en face (la Nims passe au milieu) est le plateau du repère 1
3 = Hungerburg, c'est maintenant un grand centre équestre.

4 = Ancien emplacement auberge Lindenhof, démolie pour faire place a un immeuble (voir photos avant après), architecturalement on a pas gagne au change..
5 = Ferme Limbourgs (ou Limbourger) Hof, a ete démolie pour faire place a des centres commerciaux Edeka, Aldi, DM et divers appartements, la rue Limbourgs Hof Strasse en est le souvenir
6 = la Ferme Wingertsberg, seule ferme sur tout le plateau, voir commentaire ci dessous.

La Ferme Wingertsberg est construite sur la presqu’île en surplomb de la boucle de la rivière Nims (la Nims est en contrebas d'un terrain très raide).
Surprise, j'y ai croisé un collègue, la ferme est propriété de sa famille depuis avant guerre, malheuresement son père qui aurait pu témoigner est décédé. On a parlé longuement.
Cependant ce n'est pas sa ferme que l'on voit sur vos photos, en se basant sur la configuration des portes et fenêtres; en particulier il remarquait sur la photo du groupe de PG cette fenêtre au cadre de pierre de sable rouge et au dessin élégant, pas commun sur des fermes normales (la ferme de mon collègue est petite et très modeste).
Comme autres fermes a proximité il pensait a 2 options:
- une parmi la dizaine de fermes du village de Stahl (en roulant je n'ai pas vu cette fenêtre au contour spécial)
- l'ancienne propriété agricole de la riche famile Limbourg, le Limbourgshof , démolie il y a10 ans. Je n'en ai trouvé aucune photo sur internet, mais il devrait y avoir quelque chose aux archives; c’était une propriété importante, car résultat de la partition lors des invasions Napoléoniennes, des terrains du monastère d'Helenenberg; j'imagine que beaucoup des terrains du plateau leur appartenait, cela doit pouvoir se vérifier dans les archives de cadastre. On y airait aussi plus de chance de trouver des bâtiments avec des éléments plus élégants que le standard des fermes.

C'est un peu tiré par les cheveux, mais c'est quand mème plausible.
Liitteet
Backesmuehle.jpg
ExLindenhofDemo.jpg
Hungerburg1.jpg
Hungerburg2.jpg
Lindenhof_Bitburg_2006.png
OSM_Bitburg_SO2.pdf
(359.96 KiB) Tiedosto ladattu 5 kertaa
VueChampsVersEvasion1.jpg
VueChampVersEvasion2.jpg
pbourez
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Menu de Noël 1941 Bitburg.pdf
(288.92 KiB) Tiedosto ladattu 13 kertaa
Bonjour Jean Bruno

Encore un grand merci pour les photos et toutes ces informations.

En ce qui concerne l'auberge Lindenhof, je pense qu'effectivement cela pourrait être là qu'ils étaient hébergés. Mais il faudrait un élément permettant de le confirmer. Un élément qui pourrait être utile et répéré dans un courrier qu'il a adressé à ses parents, c'est qu'ils étaient 17 à avoir fêter Noël 1941 et le 1er janvier 1942. A noter également si cela peut être utile que parmi les prisonniers du Kommando 500 il y avait son camarade d'évasion MARCEL VIGNERON mais aussi une autre personne nommée BRAVO MARIANO dont le n° de prisonnier était 5039.

Concernant ce Noël 1941, mon papa avait conservé le menu.. Je vous en joins la copie.

Mon père s'est évadé avec son camarade Marcel VIGNERON le dimanche 30 août 1942 profitant de l'absence des patrons partis à la messe. Il a enfilé des vêtements civils, dérobés aux personnels domestiques de la ferme plusieurs mois auparavant, sur lesquels il avait revêtu son uniforme. En attendant l'arrivée de son camarade, il raconte qu'il discutait avec les domestiques dans l'écurie puisque ceux ci n'avaient rien à faire le dimanche. La photo dans un message précédent montre les prisonniers français qui travaillaient à la ferme avec lui. Ils étaient au nombre de 6. Dans son récit il indique avoir pris son déjeuner à l'arrivée à la ferme et qu'ils étaient six à parler de la France. Ses camarades ont ensuite occupé les domestiques pendant que mon père allait dans une remise pour quitter son uniforme et rejoindre son camarade.

Au vu de ces quelques éléments, à savoir que mon père s'occupait des cochons, qu'il y avait une écurie, qu'il y avait au moins 6 prisonniers à travailler dans cette ferme et qu'en plus il y avait des domestiques, je pense que cela devait être "une grosse ferme". Existe t il comme chez nous des recensements de population dans les communes ? En prenant un recensement d'avant guerre il serait peut être possible de trouver une famille de fermiers avec plusieurs domestisques...

Merci encore pour les photos qui me permettent de voir les paysages que mon père a connu pendant ses deux années de captivité et au cours de son évasion. La région est très boisée et semble très jolie du côté de Hungerburg d'après vos photos.

Bien cordialement
Philippe
jibehem66
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C'est assez plausible que l'auberge Lidenhof ai pu héberger une dizaine de PG et qu'ils travaillaient sur le domaine agricole du Limbourgshof; contrairement à la plupart des fermes modestes dans la région, le Limbourgshof devait étre beaucoup plus étendu et il serait aussi logique qu'ils employaient de nombreux PG.

Sur l'image jointe de 1951 (cercle bleu = Limbourgshof? Le cercle rouge est le Lindenhof) on distingue bien dans le secteur plusieurs batiments en bordure des champs qui pourraient bien etre des corps de ferme.
(plan trouvé sur https://www.landkartenarchiv.de/deutschland_messtischblaetter_6.php carte 6005)

Je vais essayer de voir à la bibliotheque ou archives s'ils ont quelque image de ce Limbourgshof, en espérant pouvoir repérer cette fameuse fenetre de la photo de groupe.
A part l'histoire de famille des Limbourg et une photo de leur grande villa à Bitburg, je n'ai trouvé aucune image des batiments de la ferme. J'ai du passé des douzaines de fois devant sans vraiment faire attention, je n'en ai aucun souvenir.
Liitteet
Zoom carte 1951 no 6005  au 1/25000e<br />https://www.landkartenarchiv.de/deutschland_messtischblaetter_6.php
Zoom carte 1951 no 6005 au 1/25000e
https://www.landkartenarchiv.de/deutschland_messtischblaetter_6.php
pbourez
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Bonjour Jean Bruno

Mon épouse a consulté un site internet pour vérifier toutes les cartes postales anciennes de Bitburg pour voir si elle trouvait une éventuelle "petite fenêtre" identique à la photo... Mais sans succès bien évidemment.

Par contre je viens cet après-midi de découvrir un site qui s'appelle Arolsen-Archives sur lequel j'ai trouvé une information concernant mon père. Il y a une fiche en ligne qui précise que son lieu de détention était bien Bitburg mais il y aussi marqué en lieu de travail : Duhr... Par contre je ne sais pas si ce mot correspond au nom de la famille possédant la ferme ou à un nom de lieu... Pour l'instant je n'ai pas trouvé autre chose.

Bien cordialement
Philippe
geneamangard
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Ici il y a une ferme transformée en hébergement de vacances près de Bitburg
Les propriétaires s'appellent Portz-Duhr
https://www.eifelhoefe.de/ferienwohnungen-kategorie-blog/84-ferienhof-gutshof-hungerburg-in-bitburg-birtlingen.html
Elise
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Bonjour Elise,

merci pour cette information.

S'agissant du lieu, il ne peut correspondre car il semble que cela soit le centre d'équitation mentionné précédemment par Jean-Bruno.
Par contre effectivement je vois que cela pourrait être le nom d'une famille puisqu'on retrouve ce nom dans celui des propriétaires.
Je vais essayer de leur envoyer un mail, en utilisant le traducteur google car je ne parle pas allemand.
Bonne fin de journée
Cordialement
Philippe
genealogie07
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Tarkastele heidän sukupuutaan.
Bonjour et merci beaucoup de vos renseignements.
je suis allée sur le site "Arolsen- Archives" et j'ai retrouvé desp apiers concernant mon oncle Luciano Battista qui etait aussi dans ce camp Stammlager XII D n° de prisonnier ; 66498.
j'ai retrouvé une de ses cartes qu'il avait envoyé à ses parents.
Liitteet
lettre 2 9.5.44.jpg
lettre 1 9.5.44.jpg
jibehem66
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genealogie07 kirjoitti: 25 Maaliskuu 2023, 15:38 Bonjour et merci beaucoup de vos renseignements.
je suis allée sur le site "Arolsen- Archives" et j'ai retrouvé desp apiers concernant mon oncle Luciano Battista qui etait aussi dans ce camp Stammlager XII D n° de prisonnier ; 66498.
j'ai retrouvé une de ses cartes qu'il avait envoyé à ses parents.
Bonjour Genealogie07;
La carte postale de votre Oncle indique comme adresse d'ArbeitsKommando le "Krankenrevier" (= Infirmerie) du village d'Igel sur la Moselle (entre Tréves et Wasserbillig - Luxembourg).
Soit il était hospitalisé au moment ou il écrivait (mais dans le texte votre oncle indique qu'il va bien) soit il y travaillait comme PG dans/pres de l'infirmerie.
Notez qu'une des listes d'Arbeitskommando des Archives d'Adolf Welter (jointe) indique en note manuscrite rouge en base de page a droite :

....Igel "Auf der Hell" (c'est un quartier d'Igel) , résidents = Italiens et Serbes avec un petit Cimetiére, d'apres Mme Weber d'Igel

PS: je vous conseille de créer un fil separé, c'est dommage de noyer votre sujet avec celui de pbourez , le seul point en commun c'est que vos ancétres dependaient du méme Stalag XIID
(excusez moi pour les erreurs d'accents, je dois me battre avec un clavier allemand...)
Liitteet
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Palaa sivulle “Armée, vie militaire et périodes de guerre”