oh, oui, j'oublie l'essentiel...
bonsoir, également !
patricelegoux kirjoitti: ↑11 Joulukuu 2021, 18:53
romjerome kirjoitti: ↑11 Joulukuu 2021, 18:05
Idem pour les individus, la même étiquette peut être assignée aux deux acteurs (le décédé et son épouse dans ce cas).
Ce ne sont pas eux qui ont qq chose à faire a Paris mais bien la note d'action à mener
Ils avaient pourtant leurs petites affaires à Paris...
Les étiquettes peuvent créer également des ensembles, des groupes, non ?
Là, je ne raisonne pas comme si je réalisais une extension des données de l'objet, mais plutôt
comme une clé de filtrage ! L'objectif étant, un jour, d'enlever cette étiquette, car le doute a été levé ou l'action réalisée.
Il me sera plus simple de lister les enregistrements avec une étiquette commune entre divers types d'enregistrements (individus, familles, évènements, sources, lieux, etc.) que de réaliser des liaisons "transversales" entre ces divers types d'enregistrements. Et puis avec les étiquettes, il y a des tas de couleurs : impossible de passer à côté !
ok, pour les questions de sémantique, peut-être renommer l'étiquette "À faire aux archives de Paris" en "Enregistrement en attente de précision aux archives de Paris" !
Enregistrement au sens large (individus, évènements, etc.) et générique (=une étiquette au "spectre large").
J'ai les dates, les noms, les lieux, des sources primaires (la base, pour certains), mais cela ne suffit pas à prouver que son épouse était bien la personne notée sur l'acte de décès ou la table des successions et des absences. C'est un fait, il est bien parti (1882/1883) avec elle de Strasbourg vers Paris, mais après, quel fut leur quotidien, leur histoire commune de 5/7 ans à Paris ? L'idée étant qu'un jour on (moi ou n'importe qui consultant ces données) approfondira l'enregistrement : la succession, visible uniquement en salle de lecture, aux archives de la ville de Paris. Si je découvre un indice sur leur vie 'parisienne', c'est déjà bien. La source existe. Doit-on l'enregistrer sans savoir comment l'associer aux enregistrements, ou alors juste la mettre en attente dans les sources, sans liens, avec l'étiquette "À faire". Le souci c'est quand les notes et étiquettes "À faire" s'accumulent... Dans ce cas là, on réfléchit à comment organiser et ranger. Ceci explique mon tri (et sous-classement) dans les "À faire" (ou affaires - au choix !).
Dans l'exemple, on navigue entre les "actes officiels" (parisien - France), les actes religieux (post guerre de 1870, période allemande en Alsace), la fiscalité (au sens large), la nationalité d'un homme (service militaire) et le statut marital de sa dernière conjointe/concubine.
Dans l'historique de mes recherches, je suis parti, puis revenu sur ce couple, sans perdre le fil grâce aux étiquettes. ok, c'est bien connu, à couper le fil de l'étiquette, on va la perdre !
Il est surprenant de n'avoir aucune trace de leur mariage et pourtant les actes (médicaux, administratifs, juridiques, etc.) la mentionne comme son épouse. Lorsque l'Alsace est re-devenue française en 1918, son "épouse n°1" (en Alsace) était encore vivante. Son "épouse n°2" (la plus jeune) est décédée en 1906 (hôpital Bichat - Paris) ! Qui était la veuve en 1889
Si le mariage (sans divorcer de son épouse alsacienne) a eut lieu en France "de l'intérieur" après 1882, ni les archives religieuses (mariage à la cathédrale de Strasbourg en 1872), ni les archives civiles n'ont alors été consultées. Le mariage civil a pu avoir lieu un peu partout...
C'est ce "un peu partout" qui génère mes étiquettes sur ces deux personnes !
Il est possible que ces mentions soient des "raccourcis administratifs", car ils avaient un enfant ensemble. Peut être ou peut être pas ! Est-ce que ce mariage existe ? Ont-ils (avaient-ils ?) de faux certificats de mariage ? Peut-on tromper l'État, l'église, les militaires, les impôts et les médecins en France, de 1883 à 1889 ? Ok, des recherches à faire... il me faut cibler les types d'archives.