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Les Fleurot , une famille de rebouteux

fnurdin
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Les Fleurot , une famille de rebouteux

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Bonjour,
Sur le site de la commune du Val d'Ajol , il est dit qu'un Jean Louis Fleurot , rebouteux serait intervenu en 1759 à la cour de Louis XV pour soigner le fils du roi victime d'une fracture de la cuisse.
Je ne trouve pas de Jean Louis Fleurot à cette époque (né probablement vers 1700 ou avant ??)
Si quelqu'un a des infos .............

Merci

Fnurdin
chantal20
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Bonjour,
Il y a bien des Fleurot sur le Val d'Ajol et les environs. Avez-vous cherché avec uniquement le prénom de Jean ou uniquement Louis ? Il y a en particulier un Jean Charles qui se marie en 1731 fils de Jean.
Cordialement
Chantal
fnurdin
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chantal20 kirjoitti: 06 Marraskuu 2019, 20:57 Bonjour,
Il y a bien des Fleurot sur le Val d'Ajol et les environs. Avez-vous cherché avec uniquement le prénom de Jean ou uniquement Louis ? Il y a en particulier un Jean Charles qui se marie en 1731 fils de Jean.
Cordialement
Chantal
Bonsoir Chantal,
Les Fleurot sont nombreux au Val d'Ajol qui est leur berceau depuis au moins la fin du seizième , nombre d'entre eux sont notés "rebouteux" "rhabilleurs de membres" "ostéologistes" , mais vers 1700 , pas de Jean Louis . Peut-être une erreur dans l'article faisant l'historique ??
J'ai déjà lu plusieurs articles qui parlaient de cette intervention à la cour , mais le prénom n'était pas mentionné ! Affaire à suivre .
Merci de votre intervention

Fnurdin
lylybeth
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Bonjour

Regardez la page 10 de ce document.
On parle d'un Jean-Joseph Fleurot (1718 - 1784) qui arrive à Versailles pour soigner le Duc de Bourgogne en 1759.
http://pascalemarquis.chez-alice.fr/topic/fleurot-du-val.pdf

Document très intéressant.

Naissance 16/07/1718

Mariage 26/11/1743 avec Marie BOLMONT

Bien cordialement
lylybeth
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1 - Dans son étude des Fleurot, l'abbé Louis Lévêque, vicaire au Val d'Ajol au début des années 1900, nous donne des indications précieuses car le plus ancien registre n'a pas été microfilmé et n'est plus communicable actuellement.
En 1575, vivaient à La Houssière deux ménages, que les actes ne désignent pas par un nom patronymique ou de famille, mais par le nom de baptême des maris : Demenge et Bastien. Sont-ils frères ? Rien ne l'indique.
Bastien est marié à Barbon qui lui donne un fils le 16 septembre 1575, on le baptise sous le nom de « Demenge »
Demenge s'est marié vers 1570 à Claudon, il en a déjà une fille, Mathiate, en décembre 1572, et le 3 septembre 1575, il fait baptiser un autre enfant : « Jeannon, fille de Demenge de La Houssière, et de Claudon sa mère. » C'est ce Demenge qui fut le premier des fameux rebouteurs « Valdajeaux » nous dit la tradition.
Si l'on en croit Fodéré, professeur de médecine légale à la Faculté de Strasbourg, qui, se trouvant à Plombières pendant le mois de septembre 1819, fit au Val d'Ajol, une excursion dont il a consigné le récit dans le dictionnaire des sciences médicales, à l'article « Rebouteurs », le patronyme de Demenge de La Houssière serait LAMBERT. Voici ce qu'il rapporte de son entrevue avec Jean-Baptiste FLEUROT, qui exerçait alors à Hérival :
« Je vis un vieillard vénérable, d'une belle figure, toute différente de celle des habitants des Vosges, qui me mit au fait avec une admirable simplicité de toute l'histoire de sa famille, et qui me montra les livres, les ossements et tous les matériaux de l'art qu'il cultive. Il m'apprit que cet état de renoueur était dans la famille des Fleurot depuis deux siècles. Que le premier de ses ancêtres dont il avait connaissance l'avait acquit d'un nommé Lambert, dont il avait épousé la fille unique[1]. »
Vers 1600, Jeannon épousa Colas FLEUROT. En 1606, nait un enfant : « En avril 1606, est né et a été baptisé, Demenge, fils de Colas Fleurot et de Jeannette, sa mère ; sa marraine, fille Girard du Girmont et son parrain : Délot L'homme. »
Demenge s'est marié en 1632 à Thiébaude LECLERC dont il a eu trois enfants : Claude né en 1633 (appelé Claude FLEUROT le Viel, de la Broche, dans le contrat de mariage de sa fille en date du 5 avril 1698) et des jumeaux, Nicole et Dominique en 1637. En 1638, Thiébaude Leclerc, veuve de Demenge FLEUROT se remarie à Denys JACQUOT
Colas FLEUROT et Jeannette ont eu vraisemblablement un autre fils, Nicolas. Dans un acte du 16 juin 1636, «Nicolas Fleurot le jeune demeurant au Girmont Valdaiol et Mougeotte sa femme à cause d'elle et Nicolas Jacques Martin demeurant audit lieu, Deslon et Jeannon ses sœurs tant en leur nom qu'au nom et se portant fort d'Elisabeth fille de deffunct Jean Jacques Martin vivant demeurant audit lieu leur frère pre… d'autre part, ont reconnu avoir faict et passé entre eulx les partages, division et séparations des maisons et héritages tels qu'ensuivent durables à jamais». La comparaison de la signature de Nicolas FLEUROT le Jeune sur cet acte et celle de Nicolas FLEUROT en 1673 sur le contrat de mariage d'une de ses petites filles permet de conclure qu'il s'agit de la même personne.
Nous connaissons avec certitude deux enfants de Nicolas le Jeune et Mougeotte MARTIN : Demenge et Jeanne.
Demenge et Jeanne se marient le même jour, le 15 janvier 1645. Jeanne épouse Toussaint VOIRIN et Demenge épouse Jeanne VOIRIN la sœur de Toussaint.
C'est ce dernier couple qui sera à l'origine de la longue lignée des rebouteurs, le dernier connu est décédé en 1991.

2 - Texte extrait de " Le Passé du Val d'AJol" de Jacques Vaubourg, qui permet de connaître les causes du départ de nos ancêtres de leur village d'origine.
De 1635 à 1651, un temps qui parut interminable, ce ne fut que mouvements de troupes, et selon l'usage de l'époque, les bandes armées devaient vivre sur les pays ennemis : ils se livrèrent dans les villes et les campagnes aux pires exactions, pillant, brûlant, violant. Encore les Vosgiens avaient-ils des forêts où, parfois, des familles purent se cacher avec leurs bestiaux. Au Val d'Ajol la Loge des Vaches fut l'un de ces refuges.
Un témoignage très direct sur cette période affreuse sont les annotations mises dans la marge du registre de chrétienté. En voici quelques-unes :
Folio 13, verso
« En cette année (1635), depuis Pâques jusqu'à la Saint Remi (1er octobre) tout le pays était couvert de soldats allemands, hongrois, croates et autres revenant d'Allemagne, à la poursuite de l'armée suédoise, commandés par Charles de Lorraine, général de l'armée impériale. Le pays est tellement ravagé que quelques paroissiens seulement restent encore dans ces parages, (les autres) errent dans les forêts et les bois […] Les églises étaient dépouillées de leurs vases sacrés, les calices, les patènes étaient volés par les soldats ».
folio 15, recto
« [fin 1635, ou 1636]. Mort de 500 personnes par suite de guerre et de la peste […] ce qui explique le peu de baptêmes qui se font ».
folio 42, verso
« L'armée gallo-suédoise commet en ce mois [avril 1644] pendant quinze jours, toutes les horreurs. Plus de 25 pères de familles sont tués, 12 maisons sont brûlées, au moins 2500 têtes de gros et de petit bétail sont enlevées, 4 ou 5000 réseaux de récolte sont pris, les vases sacrés sont volés, les jeunes filles violées ; les habitants ruinés par tant de désastres s'enfuient de tout côté. Aussi il est impossible de donner les noms des enfants baptisés ».
………..
La plupart des usages communautaires et des règlements d'avant la guerre avaient été perdus de vue. Les ascencements, les contrats d'autrefois se trouvaient presque tous éteints.
On a même affirmé - mais fut-ce la cas au Val d'Ajol - que dans certains coins de la Lorraine les noms de lieu en grande partie oubliés.
En 1541 il y avait 184 conduits (750/900 habitants), 293 (1200/1500 habitants) en 1600. or en 1683, plus de trente ans après la période des plus grandes misères, il n'est signalé que 140 habitants. En considérant que ces habitants les chefs de familles, on aurait compté cette année là une population valdajolaise de 600/800 âmes.
Le pays était obsédé par une foule de mendiants. Ce serait une illusion que d'imaginer une compassion en leur faveur : on les considérait plutôt comme des marginaux dangereux.
Le déficit des naissances pendant les décennies les plus noires se faisait sentir. Il fallut attendre tout un siècle pour retrouver au Val d'Ajol le même nombre de naissances qu'en 1632 :101. une génération au moins ne s'était pas renouvelée normalement.
Dans les décennies 1650 à 1680 l'historien perçoit au Val d'Ajol comme un abattement physique de la population. Les tenanciers étaient trop agés, « vieux, caducs et affligés ». ils ne retenaient même pas leurs quelques grands enfants, ces jeunes gens que la misère incitaient à partir gagner leur vie dans des « contrées circumvoisines ». Ces jeunes gens rapportaient-ils dans leur famille une partie de leurs salaires ?… - Pas nécessairement, car au cours de la même période il y a un affaissement de la mentalité et des mœurs. Tout se tient.
Un signe de l'accablement général pourrait-être l'institution au Val d'Ajol, en 1657, d'un procureur chargé de reprendre en mains des sujets désorientés. Normalement c'est un mayeur désignés sur place qui aurait dû être chargé du rétablissement puis du maintien des bons usages… Il est loisible de penser que l'abbesse suzeraine n'avait pas trouvé un seul Valdajolais à même de remplir la fonction avec assez d'énergie et d'autorité.
A partir de 1680, lorsqu'une génération plus vigoureuse va prendre les rênes et que la reconstruction devient possible, la conjoncture agricole est des plus médiocre. Selon Jean Jacquard à propos du royaume - et il n'y a pas lieu ici d'en séparer le Val d'Ajol - « la dégradation de la condition paysanne est patente ». le tremblement de terre et les émanations de gaz qui effraient la population en 1682, l'hiver excessif de 1684, sont autant de traverses en surplus. Et à la fin du siècle la guerre de la ligne d'Augsbourg va entraîner une dépréciation de la monnaie : on verra les denrées de première nécessité doubler de prx. Sombre tableau…

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lylybeth kirjoitti: 08 Marraskuu 2019, 08:39 Bonjour

Regardez la page 10 de ce document.
On parle d'un Jean-Joseph Fleurot (1718 - 1784) qui arrive à Versailles pour soigner le Duc de Bourgogne en 1759.
http://pascalemarquis.chez-alice.fr/topic/fleurot-du-val.pdf

Document très intéressant.

Naissance 16/07/1718

Mariage 26/11/1743 avec Marie BOLMONT

Bien cordialement
Merci beaucoup Lylybeth pour ces précieuses informations.
Cordialement
Fnurdin
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Je descend aussi des FLEUROT du Val d'Ajol mais c'est une branchette, il faut remonter vers 1650 et comme c'est une femme, le nom se perd. C'est pour cela que je vous ai mis ce que j'avais noté dans ma généalogie concernant cette famille il y a déjà pas mal d'années.
Par contre, le lien vers les "rebouteurs" je l'ai découvert ce matin. Je ne me souvenais pas de ce point.
Je l'ai mis en mémoire pour moi également.
Bonne journée
rogercervera
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Les Fleurot du Val d’Ajol
Nous avons retrouvé récemment un cahier d’écolier dans lequel un grand père avait retranscrit en 1968 quelques anecdotes concernant les Fleurot du Val d’Ajol. Lui-même était le fils de Joséphine Amélie, née en 1854 au Val d’Ajol, fille de Jean Joseph (1822/1872) et Marguerite Parmentier (1827/1890).
Ces anecdotes trouvaient leurs origines dans l’ouvrage de l’abbé Louis Leveque consacré aux Fleurot. Il s’agit essentiellement des soins donnés à la cour des rois de France.
Mais, il y en a une, totalement inconnue en ce qui me concerne, qui raconte les soins donnés par un Antoine Fleurot en 1608 au roi Henri IV suite à un accident de chasse survenue peu avant la toussaint de 1608 en forêt de St Germain en Laye.
Il y a beaucoup de généalogies qui remonte à cette période. Sauf erreur de ma part, je n’y ai point vu d’Antoine Fleurot, qui pourrait être un contemporain (frère ?) de Nicolas (Colas) Fleurot pour lequel, les seules informations dont je dispose sont celles de son mariage, vers 1600 au Val d’Ajol, avec Jeannon, fille de Demenge de la Houssière.
(Ce Demange de la Houssière, serait le premier de la lignée des rebouteux et, faute de descendant mâle, aurait transmis son savoir à son gendre et éventuellement, au « frère » de celui-ci, Antoine ?)
Ce récit des soins apportés à Henri IV a fait l’objet d’une publication dans divers journaux régionaux de plusieurs régions de France, sous la signature de Sophronyme Loudier en 1886.
Au-delà de l’anecdote, dans le style de celles qui ont suivi un siècle et demi plus tard, ce récit apporte quelques précisions.
Antoine Fleurot a une réputation solidement établie dans le duché de Lorraine. Il a été amené à soigner Barthélemy de Laffemas, qui, selon S.Loudier est un ami de Sully. Sur la recommandation de Sully, on va chercher Antoine Fleurot chez lui et on le ramène auprès du roi, que, bien évidemment, il va guérir en même pas deux temps, trois mouvements.
Alors, bien sûr, ce texte pose questions. Son auteur, dont j’ignorais l’existence (avec un tel prénom, on ne peut pas l’oublier) semble jouir au XIXème siècle d’une solide réputation de sérieux. Aurait-il laissé flotter la folle du logis pour écrire un conte édifiant tel que le siècle en a beaucoup produit ?
On peut en effet s’étonner de voir Sully présenter Laffemas au roi alors qu’ils se connaissent depuis très longtemps, Laffemas ayant débuté auprès du futur Henri IV comme « chaussetier de ses écuries » vers 1560, puis gravi les échelons pour devenir contrôleur général du commerce jusqu’à mourir en 1612 avec une réputation bien établie d’économiste.
Une idée ?
jmstanus
male
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Bonjour,

Pas de convictions sur la publication de Sophronyme Loudier qui est né à Orbec -Normandie- en 1835, où il a passé son enfance. Après des études au collège de Lisieux, il débute une carrière de journaliste dans sa région puis à Paris, avant de se tourner vers une carrière littéraire. Ses nouvelles et récits sont publiés dans de nombreux journaux en France et à l’étranger (Suisse au moins), et il a également publié quatre livres.
Et là on est clairement dans sa période écrivain, avec un feuilleton romanesque et historique publié dans plusieurs journaux (voir plus loin pour une des publications). Je pense donc que S. Loudier a brodé son histoire autour d'une trame historique et qu'il est difficile de faire le tri... Cet avis n'engage que moi bien sûr !

Pour les amateurs, voilà une liste des documents que j'ai trouvés et qui reprend ou complète les différents textes cités dans ce "post" :

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5861244r
article écrit en 1751 : Bibliothèque lorraine, ou Histoire des hommes illustres qui ont fleuri en Lorraine, dans les Trois Évêchés, dans l'archevêché de Trèves, dans le duché de Luxembourg, etc. Par le R.P. dom Calmet, Augustin (1672-1757).
article actualisé en 1873 ici : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k33693s

http://www.genealogie-lorraine.fr/file/revue/142%20Genealogie%20Lorraine.pdf
http://www.genealogie-lorraine.fr/file/revue/146%20Genealogie%20Lorraine.pdf
Les numéros 142 et 146 de la revue "Généalogie lorraine" publiée par "L'Union des Cercles Généalogiques Lorrains" contiennent des articles sur la famille Fleurot

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k86165x
article dans "Le Pays lorrain et Le Pays messin" en 1909 : "Les Fleurot du Val-d'Ajol, une famille de rebouteurs lorrains" par l'abbé Louis Levêque, vicaire au Val-d'Ajol

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k8279200h
L'Est Républicain 14 mars 1933 : "Une vieille famille de rebouteurs vosgiens" : article sur la famille Fleurot après un procès pour exercice illégal de la médecine.

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2399658n
Le feuilleton romanesque et historique publié en 1887 sur cinq numéros par le journal "L'Express du Nord et du Pas-De-Calais" sous la plume de Sophronyme Loudier.

(pas de lien)
Le livre "Histoire et généalogie des Fleurot du Val d'Ajol du 16ème au 20ème siècle", paru fin 2008, doit être riche en informations, mais il a été épuisé quelques mois après sa parution et je n'ai pas réussi à le trouver, pas même chez l'auteur qui n'a même plus son propre exemplaire en ce moment. Il est co-signé par Robert et Michel Valentin, et Yvan Fleurot.

J'ai trouvé plusieurs autres documents, mais ils sont repris de ceux qui précèdent et n'apportent rien de neuf.

Défaut de toutes ces lectures : quand on a fini de les décoder, on obtient des arbres différents et incohérents, un peu comme ceux qu'on trouve sur Généanet :) (avec des Fleurot dont on ne sait plus si ils sont frères ou père et fils, ou qui décède alors que leur veuve est déjà remariée, etc.).

La généalogie des Fleurot n'a pas fini de nous donner des insomnies ;) !
rogercervera
male
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Bonsoir
Le livre " "Histoire et généalogie des Fleurot du Val d'Ajol du 16ème au 20ème siècle" semble effectivement avoir disparu des étalages, par contre, il doit être possible de le consulter à cette médiathèque intercommunale : https://mediatheque.ccpvm.fr/index.php?lvl=notice_display&id=155382
En ce qui me concerne, à près de 800km de là, c'est un peu difficile.
Vastaa Viestiin

Palaa sivulle “Vosges (88)”