mas boulbon
-
- Viestit: 62
- Sisääntulotila: Graafinen
- Selailu: Graafinen
- Tarkastele heidän sukupuutaan.
bonsoir
mes grands parents ont vécues au mas boulbon à nimes;je ne connais pas l histoire de ce mas en 1900.
quelqu'un en saurait plus
mes grands parents ont vécues au mas boulbon à nimes;je ne connais pas l histoire de ce mas en 1900.
quelqu'un en saurait plus
-
- Viestit: 557
- Sisääntulotila: Graafinen
- Selailu: Graafinen
- Tarkastele heidän sukupuutaan.
bonjour,jumelles22 kirjoitti: ↑27 Joulukuu 2020, 19:49 bonsoir
mes grands parents ont vécues au mas boulbon à nimes;je ne connais pas l histoire de ce mas en 1900.
quelqu'un en saurait plus
Ci-dessous un lien que je n'ai pas ouvert mais devrait vous donner des infos sur la cession du site au département.
http://bach.anaphore.gard.fr/archives/show/FRAD030_V_de-542
JEAN
-
- Viestit: 62
- Sisääntulotila: Graafinen
- Selailu: Graafinen
- Tarkastele heidän sukupuutaan.
MERCI.
Cordialement.
Cordialement.
-
- Viestit: 9
- Sisääntulotila: Graafinen
- Selailu: Graafinen
- Tarkastele heidän sukupuutaan.
A Nîmes le Mas Boulbon est un centre de loisirs. Mais durant la seconde guerre mondiale, le centre de loisirs a été un camp d’internement pour les femmes et leurs enfants.
Les autorités politiques et associatives ont placé une plaque commémorative à l'entrée du centre. Elle rappelle la tragique histoire « des 1 600 femmes et enfants enfermés ici par le régime de Vichy à partir de juillet 40 ». 1 145 femmes, 222 enfants de 5 à 15 ans et 55 enfants de moins de 5 ans. « Les rapports font état de traitements brutaux, de conditions sanitaires déplorables... Tout y a été fait pour briser ces femmes physiquement et mentalement ».
Ces femmes, c'étaient des Espagnoles, des Polonaises ou encore des Yougoslaves qui avaient fui le franquisme, le nazisme et le fascisme. « Elles se sont retrouvées enfermées non pas pour des délits ou des crimes commis mais pour le danger potentiel qu’elles représentaient pour l’État »d'alors ... Il y a 80 ans, les Nîmois - dans leur grande majorité - ignoraient l’existence de ce camp, excentré du centre-ville. Si vous voulez des renseignements plus précis contactez [email protected]
Les autorités politiques et associatives ont placé une plaque commémorative à l'entrée du centre. Elle rappelle la tragique histoire « des 1 600 femmes et enfants enfermés ici par le régime de Vichy à partir de juillet 40 ». 1 145 femmes, 222 enfants de 5 à 15 ans et 55 enfants de moins de 5 ans. « Les rapports font état de traitements brutaux, de conditions sanitaires déplorables... Tout y a été fait pour briser ces femmes physiquement et mentalement ».
Ces femmes, c'étaient des Espagnoles, des Polonaises ou encore des Yougoslaves qui avaient fui le franquisme, le nazisme et le fascisme. « Elles se sont retrouvées enfermées non pas pour des délits ou des crimes commis mais pour le danger potentiel qu’elles représentaient pour l’État »d'alors ... Il y a 80 ans, les Nîmois - dans leur grande majorité - ignoraient l’existence de ce camp, excentré du centre-ville. Si vous voulez des renseignements plus précis contactez [email protected]
-
- Viestit: 45
- Sisääntulotila: Graafinen
- Selailu: Teksti
- Tarkastele heidän sukupuutaan.
Bonjour !
Un petit complément, bien tardif, mais nécessaire. Avant guerre ce lieu était entre 1925 & 1935 une École d'Agriculture, ou mon père Pupille de l'Etat y a suivi les enseignements, avec beaucoup de travaux pratiques, il n'y avait pas de tracteurs mais des chevaux dont il avait beaucoup de plaisir à s'en occuper dès 4 h. du matin. Une grosse production alimentaire grâce au travail de nombres ouvriers agricoles était réalisé journellement. Puis vint la guerre, et les problèmes générés par les dirigeants de l'époque, qui changèrent de direction de l'utilisation du mas.
En espérant que ces infos vous agréent, Robert
Un petit complément, bien tardif, mais nécessaire. Avant guerre ce lieu était entre 1925 & 1935 une École d'Agriculture, ou mon père Pupille de l'Etat y a suivi les enseignements, avec beaucoup de travaux pratiques, il n'y avait pas de tracteurs mais des chevaux dont il avait beaucoup de plaisir à s'en occuper dès 4 h. du matin. Une grosse production alimentaire grâce au travail de nombres ouvriers agricoles était réalisé journellement. Puis vint la guerre, et les problèmes générés par les dirigeants de l'époque, qui changèrent de direction de l'utilisation du mas.
En espérant que ces infos vous agréent, Robert
-
- Viestit: 47
- Sisääntulotila: Graafinen
- Selailu: Graafinen
- Tarkastele heidän sukupuutaan.
bonjour je viens juste par hasard de découvrir le sujet et votre demande. J'ai vécu au mas Boulbon "école ménagère" puis collège agricole où mon papa était jardinier-homme à tout faire (années 50 à 84). J'ai appris récemment l'histoire de ce lieu pendant la guerre. Vers 1949 un bail à été signé entre la mairie de Nimes et la chambre d'agriculture, l'établissement rénové est devenue école ménagère d'agriculture.
-
- Viestit: 62
- Sisääntulotila: Graafinen
- Selailu: Graafinen
- Tarkastele heidän sukupuutaan.
bonjour
mes grand parent y ont vécu jusqu'a 1935
mes grand parent y ont vécu jusqu'a 1935
-
- Viestit: 47
- Sisääntulotila: Graafinen
- Selailu: Graafinen
- Tarkastele heidän sukupuutaan.
Donc vos grands parents y habitaient avant la guerre et l'épisode douloureux mentionné plus haut. Après la guerre la chambre d'agriculture a fait effectuer des travaux par l'entreprise Carbonnel mon papa y était maçon et à été embauché par la directrice de l'école ménagère . Nous y avons habité jusqu'à la retraite de mon papa en 1984. A la fin du bail emphytéotique (99 ans je crois) la ville de Nîmes à repris la propriété pour en faire le centre de loisirs. L'enseignement agricole à été transférée à Rodilhan. Cordialement. mfrançoise
-
- Viestit: 62
- Sisääntulotila: Graafinen
- Selailu: Graafinen
- Tarkastele heidän sukupuutaan.
oui c'est ça mes grand parent s'appelaient AUGUSTE ET MARGUERITTE MARCELIN ils étaient bayle
J'ai des documents sur le mas que j'avais demandé aux archives départementales à NIMES.
CORDIALEMENT
J'ai des documents sur le mas que j'avais demandé aux archives départementales à NIMES.
CORDIALEMENT