CHRONIQUE FAMILIALE « NO LIMIT » Nouvelles chroniques – Mai 2021

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Tarkastele heidän sukupuutaan.
  • Kuva DANS LA BIBLIOTHÈQUE DE MARIA
    • IL Y A 100 À BRIOUDE : UN MAÎTRE CHANTEUR CONDAMNÉ À DEUX ANS DE PRISON FERME !

      Depuis 1907, une personnalité brivadoise faisait l’objet d’un chantage récurant de la part d’un coiffeur brivadois. La « victime » reste fort discrète sur cette affaire pendant plus d’une décennie en ne cédant en aucun cas à l’individu . A sa mort, le coiffeur n’en reste pas là et reprend son inlassable pression sur la veuve.
      Celle-ci ne s’en laisse pas conter et dépose plainte auprès du Procureur. L’affaire se trouve sur la place publique. Bien que le coiffeur détienne des titres emblématiques dans la cité de Saint Julien, ses comportements délétères lui avaient attiré animosité et aversion de la part de nombreux brivadois.
      Le procès attendu allait avoir lieu …
      >>> A découvrir …


    Kuva CRIMES ET FOLIES MEUTRIÈRES EN AUVERGNE
    • CONDUIT A L’ÉCHAFAUD, EN CHEMISE, PIEDS NUS ET RECOUVERT DU VOILE NOIR ... LE PARRICIDE DE CHAURIAT (1831)

      Au 19e siècle nos anciens ont côtoyé le parricide comme exacerbation des violences familiales…
      Le code pénal napoléonien revenait aux pratiques de l’ancien régime. L’article 13 du Code pénal du 12 février 1810 prévoyait que « Le coupable condamné à mort pour parricide, sera conduit sur le lieu de l'exécution, en chemise, nu-pieds, et la tête couverte d'un voile noir ».
      Vingt ans plus tard, cette condamnation fut appliquée à l’encontre d’un habitant de Chauriat (Puy de Dôme), qui avait exécuté son père à coups de bêche…
      La pratique de ce châtiment à l’égard des auteurs de parricide perdurera en France jusqu’en 1909.
      >>> A découvrir...

      TROIS ENFANTS DE 3 À 10 ANS PÉRISSENT ASPHYXIÉS … LE FEU VENGEUR ET CRIMINEL PRÈS DE SAUGUES (1878)

      Un habitant du village de La Veysseyre (Commune de Saugues) avait perdu un procès contre le sieur Domaizon propriétaire dans le même village.
      L’individu ne veillait qu’une occasion pour se venger de cette décision de justice . Visant une écurie, propriété de Domaizon, et l’opportunité d’y mettre le feu, il passa à l’acte. Le bâtiment fut vite ravagé par les flammes. La maison jouxtant l’écurie appartenait Jean Limozin et à l’étage de laquelle, trois jeunes enfants dormaient. L’épaisse fumée qui se dégageait de l’incendie eut vite fait d’asphyxier les petites victimes….
      >>>A découvrir...


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